il s’agit d’une inflammation du parenchyme hépatique. Le foie est douloureux, les muqueuses sont jaunes. Le diagnostic doit être posé avant tout traitement (viral, infectieux, toxique, lipidose hépatique, tumoral…) Le traitement acupunctural comporte de 3 à 5 séances, accompagnés d’un régime adapté.
il s’agit d’une inflammation des muqueuses de la cavité buccale avec parfois affection purulente. Le 1er symptôme est une mauvaise haleine accompagnée d’hypersalivation et de difficultés à manger. Le plus souvent ceux les responsables sont des lésions des muqueuses produites soit par des éléments traumatiques soit par un dépôt de tarte irritant. Le chat y est très souvent sujet (complexe éosinophilique d’origine allergique). On traite les cas relevant du détartrage ou de l’extraction dentaire par des méthodes habituelles. En complément l’acupuncture donne de bons résultats en 2 à 3 séances.
il s’agit d’un rétrecissement de la lumière oesophagienne, une inflammation ou une dilatation oesophagienne. l’animal régurgite régulièrement, parfois des vomissements partiels d’aliments ingérés. Une douleur à la déglutition est présente lors d’oesophagite. Il faut vérifier les causes traumatiques (corps étrangers, ingestion de substance caustique), neurologiques (mégaoesophage) ou malformations avant de traiter. dans les cas pouvant être traiter par acupuncure, on observe une nette amélioration dès les jours suivant la séance. le nombre de séance est dicté par les améliorations obtenues.
les démangeaisons amènent la chienne ou la chatte à se lécher ou à se frotter sur un support fixe. Outre l’état œdémateux ou enflammé de la vulve, le prurit reste le principal symptôme Cette affection possède des origines lésionnelles, inflammatoires ou nerveuses (neuro-humorales en réalité). Les cas relevant de l’acupuncture concernent le prurit vulvaire sans lésions primitives ni atteintes parasitaires ou mycosiques. Le prurit doit se réduire fortement après la première séance et disparaître après 2 ou 3 séances espacées.
Bien que tout à fait naturelle, cette chute de poils peut avoir des conséquences néfastes pour nos compagnons, en particulier chez ceux tels les lapins ou les chats qui portent une attention toute particulière à leur toilette et peuvent absorber une grande quantité de poils à cette occasion.